La CGT demande, face à un tel couac qui amène stress et surcharge de travail, une compensation en temps ou en heures supplémentaires.
Face au couac qui a touché les inscriptions téléphoniques des conservatoires parisiens depuis le 12 juin dernier (et qui continue toujours à l’heure où nous écrivons ces lignes), la Direction des Affaires Culturelles (DAC) n’a rien eu de mieux à dire à ses agents que « le dispositif de crise d’impose » (lire ici).
La CGT répond que ce qui s’impose face à une telle situation génératrice de stress et d’une surcharge considérable de travail, c’est une compensation en temps ou en heures supplémentaires. Elle suggère à la Direction des affaires culturelles et au bureau de l’éducation artistique et des pratiques culturelles amateurs d’autoriser les directeurs d’établissement à offrir en compensation des autorisations spéciales d’absence à tous les agents qui à un moment ou un autre de la crise se sont trouvés confrontés à cette panne téléphonique (qui continue toujours à l’heure où…).
La CGT estime qu’il serait de bon ton de verser également des heures supplémentaires à tout les collègues qui ont été au cœur de ce disfonctionnement (qui continue…..)
Les membres de CGT qui siègent dans les instances de la DAC (CTP, CHS) rencontrent le directeur des affaires culturelles, Noël Corbin. Ils ne manqueront pas de le solliciter à ce sujet.
Allo Paris ? Pourquoi tu tousses ?
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