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Blog PACS de la Direction des Affaires Culturelles (DAC) de la Ville de Paris.

Dans les bibliothèques parisiennes, t’es ok !

 

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                                              " Ouf, on est enfin certifié Qualiparis ! "

 

                              

                              On peut même venir y promener son chien Lulu...

 

On s’en doutait un peu, mais la nouvelle est maintenant confirmée. Une organisation bien mystérieuse infiltre de nouveau les bibliothèques municipales !

 

La création d’une nouvelle mission qualité au bureau des bibliothèques, justifiant la suppression du poste d’inspectrice a permis le retour en force de l’analyse transactionnelle au cœur même de l’administration parisienne. 

 

La victime de cette infiltration insidieuse ? Rien moins qu’une formation Qualiparis sur l’accueil du public.

 

Les bibliothèques parisiennes s'étaient à peine (non sans mal, certes) défaites de l’emprise de la pyramide de Maslow  (lire ici) que le triangle malèfique de cette organisation toujours aussi tenace réussit à s’infiltrer.

 

 

                                                  Qualiparis: L'administration ne va-t-elle pas trop loin ?

                   tupperware.jpg

                                            " Attention, maintenant je vais vous montrer un triangle ! "

 

 

 

Car  aujourd'hui toute formation digne de ce nom commence avec plusieurs schémas tous en forme de triangle avec un nombre considérable de flèches sur tous les côtés. Au sommet du triangle, on trouve le sigle GP pour …Grande Puissance qui signifie l’autorité ! Oups !  

 

En bas du triangle (de la grande puissance donc) il y a, plus ou moins, les bibliothécaires, sous une forme ou une autre, et le public. On y trouve également de la demande et des contrats et tout doit être bien équilibré comme un triangle. Et oui, dans les nouveaux services publics agents et usagers doivent passer un contrat sinon pas de certification Qualiparis !

 

Après l’étape évidente du jeu de rôle à laquelle personne ne peut échapper, arrive la distribution tant attendue d’un schéma qui décrit les rapports humains. De la pure analyse transactionnelle tirée d’un bouquin de Thomas Harris  « I’m OK, you're OK ! » (Je suis OK, t’es OK pour les non anglophones). Une formule raillée par plusieurs générations d’américains (voir ici). Mais bon, ceux qui sont derrière cette infiltration, en plus d’être OK! doivent sûrement êtres aussi bath (ils aiment leur salle de bain, toujours pour les non anglophones)

 

 

 

                                                   Pour Qualiparis, le matériel de formation est de qualité !

                      diagramme10

                                               Une fiche spécialement rédigée pour les non-anglophones

 

 

 

Cette tentative d’infantilisation des bibliothécaires n’est peut être après tout qu’une façon de leur refuser des compétences techniques et culturelles ? A moins que ce type de formation ne soit plus qu’une façon de démontrer que l’horizon indépassable des personnels est de gérer les chocs thermiques des futurs espaces chauds et froids que veut installer la Mairie de Paris dans ses bibliothèques du Futur (lire ici) ?

 

Dieux merci, arrive le chien Lulu. Un curieux épisode animalier pour une formation pourtant réputée sérieuse.

 

Les participants doivent résoudre cette énigme : Un type promène son chien Lulu sur la plage; Lulu rencontre un autre chien. Que se passe-t-il ?  Et, oui que se passe-t-il ?

 

 

                                                 Qualiparis: Y a pas que les chiens qui s'appellent Lulu

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                                                          " Ah non, nous on veut pas êtres mêlé à ça ! "

 

 

Imaginons la tête d’un bibliothécaire nouvellement labélisé Qualiparis qui fait l’effort de participer à une formation sur l’accueil du public, qui entend comparer ses situations de travail à deux chiens qui se reniflent sur une plage… ?  Arggh. Ca y est, ce collègue est converti à son insu !

 

Finalement ramener les rapports humains à Lulu et ses congénères est peut-être la forme ultime de mépris des agents et des usagers ? Et ça, c’est une manœuvre finalement très Qualiparis, non ?

 

Allez pas la peine de chercher bien loin. La prochaine bibliothèque qui ouvrira à Paris s’appellera « médiathèque Ron Hubbard » on en est sûr maintenant.

 

 

                                                            QualiParis: Une formation sans accroc

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                                              "  Hummm, à mon avis, ils ont été convertis à leur insu ! "

 

 

 

Lire aussi

L’inspectrice des bibliothèques parisiennes ne renonce jamais !

Paris : La Bibliothèque du futur fait polémique !

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G
Quelques précisions après votre réponse au commentaire n°8<br /> Lorsque j'ai dit que la CGT ne me paraissait pas sécialement défendre les cadres, c'était au deuxième degré, évidemment (je sais bien qu'un syndicat est censé défendre toutes les catégories de<br /> personne, merci); je ne parlais que des bibliothèques (je ne suis pas qualifié pour m'éxprimer sur les cadres en général), et je persiste à dire que je n'ai jamais senti un engagement particulier<br /> de la CGT sur la défense des responsables de bibliothèques.<br /> Alors vous m'accusez de ne défendre, dans une veine bien corporatiste, que les conservateurs, dans les CAP (où on ne parle pas d'ailleurs que de promotions, comme vous le laissez entendre). Je ne<br /> sais si vous même êtes élu en CAP, mais c'est un peu comme si je vous disais qu'un élu de catégorie C ou de catégorie B ne défendait que des personnels de son grade ! ça ne viendrait à l'idée de<br /> personne ! Sachez en tout cas qu'en ce qui me concerne, j'ai toujours participé à ces CAP avec désintéressement, et certainement pas pour faire avancer ma propre carrière, (comme d'autres), mais<br /> pour faire valoir les spécifités du métier de bibliothécaire et défendre les chefs d'établissements qui me paraissaient devoir l'être. Eh ! oui, le mot de promotion n'est pas un gros mot, quand il<br /> vient récompenser des responsables, dont l'action à la tête de leur établissement est largement reconnue. Et je n'ai pas à rougir d'avoir pu, modestement, avec mes autres collègues élus, apporter<br /> ma contribution à cela.
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C
<br /> <br /> Merci pour vos précisions,<br /> <br /> <br /> Quand vous écrivez « Lorsque j'ai dit que la CGT ne me paraissait pas spécialement défendre les cadres, c'était au deuxième<br /> degré » vous faites donc le même humour que nous pour l’analyse transactionnelle et les formations Qualiparis, n'est ce pas ? Dont<br /> acte. Nous acceptons vos explications.<br /> <br /> <br /> Vous rajoutez  «  je persiste à dire que je n'ai jamais senti un engagement particulier de la<br /> CGT sur la défense des responsables de bibliothèques. ». Alors là vous avez tord. Nous n’arrêtons pas de défendre les effectifs, les<br /> budgets, le maintient des petites et moyennes structures (sans parler de bien d’autres choses, notre site en est plein).<br /> <br /> <br /> Nous sommes présents sur des thèmes comme le handicap en bibliothèque ou la santé au travail (allez voir notre article sur la préfiguration<br /> de Vaclav Havel). Si ça ce n’est pas aussi défendre les responsables de bibliothèques, qu’est ce que c’est ?  Nous vous l'assurons, les<br /> conservateurs sont les bienvenus chez nous.<br /> <br /> <br /> Par contre, oui, nous critiquons l’analyse transactionnelle, qui pour nous n’a rien (mais alors rien à faire dans  quelque formation que ce soit). Et ce n’est en aucune façon du « dérapage » comme vous dites.<br /> <br /> <br /> Nous ne vous reprochons pas, non plus, de participer au CAP et de défendre les conservateurs (normal), c’était juste une réponse à votre<br /> vision syndicale nous concernant, mais puisque c’était du second degré, hein !. Et puis, être élu CAP n’empêche nullement de s’intéresser aux autres catégories de personnels n’est ce<br /> pas ?   <br /> <br /> <br /> Quand on est syndicaliste (c’est le cas, de facto, lorsque l’on se présente sur des listes pour devenir représentant des personnels, on peut tout<br /> de même dans ce cas se montrer (aussi) solidaire des personnels en venant par exemple  assister aux AG<br /> (comme en février) rien ne vous l’interdit . C’était le sens de notre réponse.<br /> <br /> <br /> Comme vous avez pu le constater dans les autres commentaires, pas sûr que les réactions de certain conservateurs fassent l’unanimité dans le<br /> réseau.<br /> <br /> <br /> Au plaisir de vous lire.<br /> <br /> <br /> <br /> <br />
B
C’est bien la première fois qu’il existe une telle unanimité des chefs d’établissement : quelle énergie, quel enthousiasme ! C’est sans doute ça l’esprit de corps.<br /> Malheureusement, ces mêmes chefs sont beaucoup moins prompts à s’exprimer aussi collectivement lorsqu’il s’agit de défendre les heures d’ouverture des bibliothèques, leurs missions ou leur<br /> entretien.<br /> C’est dommage car les chefs d’établissement auraient tout intérêt à se faire entendre aux côtés de la CGT. Car aujourd’hui, c’est bien d’une ambulance qu’il s’agit lorsqu’on parle du fameux réseau.<br /> Une ambulance surchargée et branlante qui transporte tant bien que mal son lot de sous-effectifs, de pannes en série et de mépris pour l’initiative.<br /> Le réseau s’effrite peu à peu et sa tête capitale, pensante et organisatrice, ne parvient pas à recoller les morceaux. Le SPR infantilise les chefs d’établissement et démoralise les agents.<br /> Aujourd’hui, la richesse du réseau c’est encore ses collections, son public, tous deux pléthoriques, et ses professionnels, motivés et bricoleurs. Quant aux services, ils sont réduits à la portion<br /> congrue : patrimoine en très mauvais état, mobilier à la limite de l’indigence, mètres carrés insuffisants, informatique sous-dimensionnée et vétuste, centralisation de l’information et de la<br /> communication, services en ligne inexistants...<br /> <br /> Quant à cette fameuse pyramide, on pourrait tout à fait la reprendre ligne par ligne pour montrer à quel point le réseau marche sur la tête :<br /> https://fr.wikipedia.org/wiki/Pyramide_des_besoins_de_Maslow<br /> <br /> Ahhhh ça m’énerve !
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B
Pas de méchanceté dans l’ironie ! (quoique « Ayez pitié, ils n savent pas ce qu’ils font ! ») Bien au contraire, j’ai d’ailleurs incité d’autres collègues à le lire. D’autres articles de la même<br /> veine me paraissent indispensables.<br /> Le Rapport sur les lauréats ENSIB ne pourrait-il pas être propice à un article sur la « cancrétude » de nos futur(e)s dirigeant(e)s, à voir ?
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B
Ah non non, je n’ai pas trouvé ça trop méchant ! Mais alors, pas du tout.<br /> Et puis j’ai bien rigolé, surtout l’histoire du chien Lulu, incroyable !!<br /> <br /> L’analyse transactionnelle, la PNL et tout le tralala, c’est quand même « borderline »…<br /> J’imagine qu’en plus ces « formations », dispensées par de quasi-charlatans, sont financées avec l’argent du contribuable.<br /> Décidément, Qualiparis ça ne s’arrange pas, on dirait…
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M
Chers collègues,<br /> <br /> Merci à vous tous, pour avoir réagi, nombreux, à ce tract de la CGT-Cadres et ce blog CGT du 15 mai dont on peut se demander quel est son objectif. Celui que je perçois est de dénigrer, à travers<br /> ce tract et le précédent du 28 novembre dernier, l’inspectrice des bibliothèques actuelle dans ses compétences, son travail et sa personne, et je m’interroge sur l’adéquation entre cet objectif et<br /> celui d’un syndicat CGT Cadres, qui a pour mission de défendre l’intérêt professionnel des cadres et qui « milite pour défendre le droit des salariés, la qualité du service public rendu aux<br /> Parisiens ».<br /> Je m’interroge aussi sur les cibles de cette entreprise de dénigrement que sont ces deux textes (sans parler du tract injurieux qui cible et cite nommément mon collègue Yves Alix, inspecteur, quant<br /> à lui, des bibliothèques d’État).<br /> • La pyramide de Maslow. Deux fois cette fameuse pyramide, élaborée par ses successeurs, est la cible des sarcasmes de ce tract. Pour quelles raisons ? Abraham Maslow est un sociologue des années<br /> 50 réputé pour son travail de recherche sur la motivation des personnes au travail, membre de l’école dites « des relations humaines ». Pourquoi se moquer de lui et pas des autres chercheurs dans<br /> ce domaine comme Douglas Mc Gregor, Frédéric Herzberg, Edwin Locke, David Mc Clelland ou d’autres ?<br /> • L’analyse transactionnelle. Cette théorie de la personnalité et des organisations, dont le créateur est Éric Berne, se situe également dans le courant humaniste. Les concepts opérationnels de<br /> cette théorie, qui analyse les relations entre les personnes dans un contexte donné, fait partie du bagage des formateurs et consultants actuels, et en particulier ceux qui forment nos responsables<br /> de bibliothèque ; d’ailleurs, certains auteurs connus, comme Jacques Salomé, l’utilisent abondamment sans citer leurs sources. Pourquoi dénigrer l’Analyse transactionnelle et pas la Systémique,<br /> l’École de Palo Alto, la Communication non violente ou l’approche Rogérienne ?<br /> • Les réunions Tupperware. Ces réunions avaient pour but de réunir des jeunes femmes américaines, oisives, autour de sujets les concernant comme la cuisine et donc les ustensiles de cuisines, selon<br /> un système commercial original fondé sur les relations sociales. Vouloir associer les groupes de travail animés par l’inspectrice des bibliothèques à des groupes Tupperware est une manière,<br /> humoristique, peut-être, de discréditer non seulement la personne qui les anime mais aussi ses participants.<br /> • Enfin la photo de Ron Hubbard en fin de blog, laisse à penser qu’il peut exister un lien entre les activités de l’inspectrice et la scientologie, dont Ron Hubbard est le fondateur, condamnée en<br /> France comme une secte. Quel rapport ?<br /> <br /> Je trouve les associations d’images ou d’idées employées dans ces tracts assez tendancieux, pour ne pas dire dangereux. Ils me rappellent dans ces procédés, certains propos de Marie-Claude<br /> Monchaux, auteur de Écrits pour nuire, 1985, qui stigmatisaient certains ouvrages pour la jeunesse, et par métonymie les bibliothécaires eux-mêmes, comme porteurs d’une idéologie tendant à<br /> pervertir la belle jeunesse française.<br /> Par ailleurs, il me semble que taper sur l’inspection des bibliothèques parisiennes, institution qui va disparaître silencieusement après de bons et loyaux services depuis 150 ans, est un mauvais<br /> calcul, qui va à l’encontre de la démarche annoncée de protéger les droits des salariés et la qualité du service public rendu aux Parisiens. Car c’est tirer sur l’ambulance.<br /> <br /> <br /> Marielle de Miribel<br /> Inspection des bibliothèques<br /> DAC, Ville de Paris<br /> 16 rue des Blancs-Manteaux-75004 Paris
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C
<br /> <br /> Cette réponse mérite quand même quelques commentaires. Outre qu’il est piquant de voir qu’un simple descriptif d’une formation (lisez attentivement le texte) mette l’élite des bibliothèques<br /> dans un certain état au point que l’on parle de « dérapage » ou « d’attaque personnelle » ( mais où vont-ils donc chercher tout ça?) c'est que ce petit billet devait vraiment<br /> être dérangeant (a noter que de très nombreux collègues (la plupart ?) ont trouvé le texte très drôle, très juste, et pas du tout diffamatoire (question de point de vue social sans doute).<br />  Allez des commentaires sur les justifications de l’inspectrice qu’elle set toujours si l’on en croit la signature<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> « La pyramide de Maslow. Deux fois cette fameuse pyramide, élaborée par ses successeurs, est la cible des sarcasmes de ce tract. Pour quelles raisons ? Abraham Maslow est un<br /> sociologue des années 50 réputé pour son travail de recherche sur la motivation des personnes au travail, membre de l’école dites « des relations humaines ». Pourquoi se moquer de lui<br /> et pas des autres chercheurs dans ce domaine comme Douglas Mc Gregor, Frédéric Herzberg, Edwin Locke, David Mc Clelland ou d’autres ? »<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Réponse : Ben, c’est tout simple, On se moque de Maslow  parce que l’on se moque des billets de l’inspectrice que le cite abondamment<br /> (comme aujourd’hui encore)<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> « Pourquoi dénigrer l’Analyse transactionnelle et pas la Systémique, l’École de Palo Alto,…)<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Réponse Idem que pour la précédente (on se gardera de reprendre le reste du paragraphe qui est un pur Chef d’œuvre !)<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> « Vouloir associer les groupes de travail animés par l’inspectrice des bibliothèques à des groupes Tupperware est une manière, humoristique, peut-être, de discréditer non seulement la<br /> personne qui les anime mais aussi ses participants. »<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Réponse : Nous y voilà ! En fait c’est être comparé à « de jeunes femmes américaines, oisives, autour de sujets les concernant comme la cuisine et donc les ustensiles de<br /> cuisines » qui provoque l’ire de nos chers dirigeants d’établissements. Finalement on est bien peu de chose !<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> « Enfin la photo de Ron Hubbard en fin de blog, laisse à penser qu’il peut exister un lien entre les activités de l’inspectrice et la scientologie, dont Ron Hubbard est le fondateur,<br /> condamnée en France comme une secte. Quel rapport ? »<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Réponse : Quoi, il y en a qui auraient pu trouver un lien entre toutes ces charlataneries ? Ben, oui quel rapport ?<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> « Je trouve les associations d’images ou d’idées employées dans ces tracts assez tendancieux, pour ne pas dire dangereux »<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Réponse : Un argumentaire sans une petite référence au point de Godwin n’est pas un argumentaire digne de ce nom, Pyramide de Maslow ou pas<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Pour conclure, il n’est pas certain que l’activité de l’Inspectrice (qui est donc toujours en place si l’on en croit sa signature officielle) aille dans le sens de la défense des salariés<br /> ou de la qualité du service public mais chacun a le droit d’avoir ses opinions. Nous garderons donc les notres.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
P
Quelques réactions :<br /> <br /> « Effectivement voilà qui a fait mouche !<br /> <br /> Non, non, je ne trouve pas ça choquant du tout, l’analyse transactionnelle faisant partie des méthodes de management extrêmement décriées. Je suis plutôt choqué de voir appliquer ces méthodes dans<br /> le secteur public.<br /> <br /> Cette dame a manifestement été payée des années pour faire un travail qui servait à quoi ? Tout le monde se pose la question. Effectivement, une inspectrice qui n’a jamais inspecté, n’est-ce pas<br /> dévoyer la fonction ?<br /> <br /> Sur un autre plan, ses billets au ton moralisateur m’ont parus difficilement acceptables. A propos de ces billets justement, le n°12 et 21 sont tirés de Sagesses et malices de Nasreddine, le fou<br /> qui était sage de Jihad Darwiche, Albin Michel, vol.3 pour le 1er et vol. 1 ou 2 pour le second, au mépris des droits d’auteur puisque aucune mention n’en est faite.<br /> J’avais été choqué qu’elle s’attribue un texte sous droits : il s’agit ni plus ni moins de plagias.<br /> Ce texte est finalement mentionné en note dans un 3e, le n°18, mais je doute qu’elle ait eu l’accord de l’éditeur, puisqu’il ne s’agit pas d’une simple citation.<br /> <br /> Mais vous connaissez les administrations, pour faire comme l’inspectrice : « Selon que vous serez puissant ou misérable / Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir. »<br /> <br /> Une autre :<br /> « Pour Qualiparis tout le monde est frustré du contenu qui n’a pas répondu aux attentes ; sur la forme absurde ou convenue de la formation - schémas, triangles, communication DESC -, ils sont entre<br /> l’amusement et l’agacement ; pour mon groupe, tout le monde a dit que la formatrice ne maitrisait pas son sujet et avait eu des expressions floues ou malheureuses.<br /> Beaucoup ont dit qu’ils s’inscriraient à la formation gestion des conflits où ils espèrent trouver des outils plus applicables.<br /> Quand aux réactions de quelqiues conservateurs pour défendre l’Inspectrice, nous sommes attérés<br /> Et encore une autre :<br /> « Oui effectivement, ils feraient bien de se battre un peu plus pour nous et un peu moins pour eux! Ils doivent tous se sentir menacés de toutes parts, c’est pour cela qu’ils se défendent entre eux<br /> : je n’ai pas l’impression qu’il règne une bonne ambiance dans leurs bureaux.<br /> Continuez votre combat, il est légitime et apprécié du plus grand nombre.<br /> Bon wek-end. »<br /> <br /> Et toujours :<br /> <br /> « Moi, j’apprécie vos textes que je trouve très drôles et non, il ne faut surtout pas arrêter, tant pis pour les grincheux !<br /> Je suis d’accord avec vous : l’analyse transactionnelle ça va 2 secondes mais on ne fonde rien de concret là-dessus. »<br /> Courage !<br /> N’abandonnez pas.<br /> <br /> Encore et encore :<br /> <br /> « Je viens de le relire pour en être certain mais je ne trouve pas que ce soit particulièrement diffamatoire. Je pense que ce qui les choque c'est la comparaison avec Ron Hubbart qui est pour<br /> certains le nouveau Hitler de la pensée unique. C'est là sans doute leur point d'attaque... Si vous mettez les frères Bogdanov ils ne diront plus rien »<br /> <br /> Et enfin (provisoirement)<br /> <br /> « Bonjour,<br /> Une chose me frappe dans ce déluge de protestations : ce ne sont pratiquement que des chefs d’établissement en grande majorité conservateurs qui défendent une personne ….ce serait intéressant de<br /> voir ce qu’en pense les équipes… les personnels de ma bibliothèque ayant par le passé (je n’y étais pas) fait l’objet de cette médiation restent sceptique … en ce qui me concerne j’aimais beaucoup<br /> Marielle de Miribelle mais son coté « gourou-bon-à-tout » actuel me perturbe »
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G
J’avoue ne guère avoir été convaincu par vos explications.<br /> <br /> On peut faire de l’humour, pourquoi pas, ça peut être même assez sympathique (quoique certains thèmes mériteraient tout de même un traitement un peu plus approfondi), mais sans s’en prendre aux<br /> personnes, ce que vous avez fait récemment par deux fois -il s’agit bel et bien d’attaques ad hominem (et non Ad Nominem, mais passons …).<br /> <br /> Ces « dérapages » ne sont guère admissibles.<br /> <br /> On peut critiquer, comme vous dites, « des méthodes », (à propos des quelles on peut en effet être d’accord ou pas), mais sans passer sous silence (volontairement ou par ignorance ?) le bilan de<br /> l’action de Marielle de Miribel en terme de médiation, dont nombre de chefs d’établissement a reconnu l’utilité et la pertinence.<br /> <br /> J’ignorais par ailleurs que la CGT défendait particulièrement les cadres et les responsables d’équipement … mais cela m’a sans doute échappé.<br /> <br /> Gilles Pierret<br /> Conservateur général<br /> Médiathèque musicale de Paris
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C
<br /> <br /> La dernière phrase est intéressante car Il faut savoir que Gilles Pierret pratique « l’action syndicale » a sa manière (enfin il s’est présenté sur une<br /> liste syndicale pour représenter les conservateurs dans les commissions d’avancement). Comme a il  toujours défendu exclusivement sa corporation (et, oui on est syndicaliste<br /> jusqu’au bout des promotions !)  qu’un syndicat (ce qui est le cas de la majorité des confédérations en France) s’occupe (aussi) des cadres en plus des autres catégories de<br /> personnels, mais pas "particulièrement" ne peut que le perturber et on « comprends que ça lui ai échappé » .<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
S
Merci d'avoir retiré votre premier post.<br /> Je viens du secteur privé, j'ai fait une école de commerce et je pense que je sais mieux que vous ce que sont le harcèlement et les méthodes qui y conduisent : j'en ai été victime à titre<br /> personnel. S'acharner sur une personne en difficulté, qui vient de voir supprimer son poste, s'apparente à du harcèlement. Vos objectifs sont peut-être louables mais vos méthodes ne le sont pas,<br /> essayez d'en convenir.<br /> J'ai personnellement l'impression que vos actions sont peu concluantes quant aux revenus des personnels, les miennes non plus, je vous le concède. En ce qui concerne la qualité de la vie dans la<br /> bibliothèque où je suis adjointe, je ne vous permets pas de vous exprimer sur ce que je fais pour améliorer le quotidien de mes collègues : ce sont eux qui sont mes seuls juges, interrogez-les si<br /> vous voulez.<br /> Votre mauvaise fois éclate dans votre dernier paragraphe : j'étais de votre action de décembre à Duras, parce que, ne vous en déplaise, je soutiens votre action quand il y en a une. Mais comme vous<br /> n'avez pas pris la peine de me faire signer quoi que ce soit, ou de faire un appel, vous l'ignorez.
Répondre
C
<br /> <br />  « Votre mauvaise fois éclate dans votre dernier paragraphe : j'étais de votre action de décembre à Duras, parce que, ne vous en déplaise, je soutiens<br /> votre action quand il y en a une. Mais comme vous n'avez pas pris la peine de me faire signer quoi que ce soit, ou de faire un appel, vous l'ignorez. » Vous avez raison, Dont<br /> acte !<br /> <br /> <br /> « Vos objectifs sont peut-être louables mais vos méthodes ne le sont pas, essayez d'en convenir »<br /> <br /> <br /> Écoutez, oui on peu en convenir, c’est d’ailleurs toute la difficulté de la chose. Notre objectif n’est aucunement de harceler Mme De Miribel que nous ne<br /> connaissons pas personnellement et qui d’après les échos que l’on a eu est assez sympathique par ailleurs, mais le problème c’est tout son barda d’analyses « quelque chose » qu’elle<br /> véhicule (et encouragé c’est vrai par l’administration). Il n’est, malheureusement, peut pas possible de trouver la bonne méthode pour le dénoncer.<br /> <br /> <br /> On essayera de faire mieux la prochaine fois<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
S
Alors comme çà, le "piteux état" (sic) du réseau serait le résultat de l'inconsistance et de la faiblesse de (nombreux) chefs d'établissements, adeptes inconditionnels de "l'analyse<br /> transactionnelle" !! ça, pour une nouvelle, c'en est une, et on admire la puissance de l'analyse. Remarquez, çà nous change un peu, nous qui avions compris que tout le mal venait des services<br /> centraux ...Dans un autre contexte, on serait volontiers saisi d'un gros rire, mais là, très franchement on a plutôt la nausée, en lisant vos attaques inqualifiables sur "la réputation" de certains<br /> chefs d'établissement, de misérables "suiveurs" tout juste capables, selon vous, de dupliquer bêtement l'avis d'un des leurs ... c'est vrai qu'ils ont subi un tel lavage de cerveau, les pauvres !<br /> Enfin, les masques tombent ... dès lors que vous vous apercevez que vos petites fables cinéphiliques ne font plus rire personne, et que derrière votre "humour", qui ne résiste décidément que bien<br /> peu à la contradiction, se cache un comportement ou le ressentiment fieleux le dispute à l'invective. Et vous prétendez (cf mail d'hier) défendre les chefs d'établissements ? A moins qu'il n'y en<br /> ait pour vous de bons et d'autres mauvais ? C'est grave !
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C
<br /> <br /> Bonjour Chèr (chere ?) chyrven.<br /> <br /> <br /> Votre commentaire est publié<br /> <br /> <br /> Merci pour cette réponse qui effectivement « ne résiste décidément que bien peu à la contradiction, se cache un comportement ou le ressentiment fielleux le<br /> dispute à l'invective. »<br /> <br /> <br /> Sachez qu’effectivement le réseau est dans un piteux état, les nombreuses réductions d’horaires en sont la preuve, bientôt les fermetures des petites structures<br /> (que vous appelez de vos vœux) sans oublier ses préfigurations catastrophiques (Yourcenar Vaclav Havel). Mais bon, vous devez trouvez ça bien.<br /> <br /> <br /> Et oui, dans les chefs d’établissement il y en des bons et des mauvais (en tout cas d’un point de vue syndical, si vous le permettez). Quand on voit parmi les<br /> quelques signataires que certains sont en conflit ouverts avec leur équipe,  que d’autres ont des méthodes inacceptables avec les vacataires, ben oui, ils peuvent<br />  toujours défendre l’analyse transactionnelle.<br /> <br /> <br /> Sachez par ailleurs que d’autres Conservateurs nous ont manifestés leur soutien, effarés qu’ils étaient contre le comportement grégaire de leurs contemporains et<br /> dubitatifs sur les formations Qualiparis ou autres. Quand aux personnels du réseau les retours sont positifs et ils aiment toujours beaucoup notre humour. Si vous saviez ce qu’ils pensent de<br /> toutes ces charlataneries.<br /> <br /> <br /> Enfin on a compris que vous louez le travail des services centraux du SPR, du BBL, des ex ou futur inspecteurs d’Etat, des grosses médiathèques modernes<br />  munies d’espaces froids et chauds avec des personnels QualiParis, bref, c’est que du bonheur et tous des gens formidables<br /> <br /> <br /> On risque de ne pas souvent être d’accord<br /> <br /> <br /> <br />
S
Vous me ferez le plaisir de retirer le post qui reprend mon mail et que vous signez stupidement "Belle personne" alors que ma signature, Sandrine H. MMP, me rend tout à fait identifiable.<br /> Voici le contenu de ce mail, que je réitère, dussiez-vous me traiter de suiveuse, de résistante de la 25ème heure et de personne ne sachant pas diriger son établissement :<br /> "Entièrement d’accord avec tout ce que viennent de dire nos collègues. En plus d’être une belle personne, Marielle rend de vrais services aux bibliothèques qui lui demandent son aide.<br /> Quant aux syndicats, il me semble qu’ils sont censés défendre l’ensemble du personnel des bibliothèques, quelles que soient sa catégorie ou ses fonctions. Que celui-ci, plutôt que de se préoccuper<br /> des véritables problèmes du réseau, s’acharne sur l’un ou l’une d’entre nous est particulièrement inquiétant pour l’avenir."<br /> Voulez-vous que je développe et que je m'étende sur les lacunes de votre action syndicale qui, non contente de n'améliorer en rien les conditions de travail des catégories B et C, ou de se battre<br /> efficacement contre la diminution des effectifs, préfère s'acharner sur des broutilles sans conséquence pour le fonctionnement global de notre réseau ? Il est inadmissible qu'un syndicat pratique<br /> le harcèlement moral comme le premier petit cadre de France Télécom venu, et c'est pourtant ce que vous faites avec Marielle de Miribel.<br /> Sachez pour finir que je milite au Parti communiste, et que je ne vous ai pas attendus pour savoir ce qu'étaient les Luttes, heureusement.
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C
<br /> <br /> Bonjour,<br /> <br /> <br /> Votre commentaire est publié<br /> <br /> <br /> Le post qui reprend votre mail est retiré<br /> <br /> <br /> Vous écrivez que notre syndicat « préfère s'acharner sur des broutilles sans conséquence pour le fonctionnement global de notre<br /> réseau ». Des broutilles sans conséquences ? Au contraire ces formations avec analyses transactionnelles sont justement les méthodes utilisées par France Télécom que vous dénoncez<br /> par ailleurs. Quand au harcèlement, franchement si dénoncer des méthodes que l’on juge néfastes, c’est du harcèlement, révisez vos définitions (c’est limite du point de godwin !.). Et dans<br /> ce cas nous ne devons plus rien dire ?<br /> <br /> <br /> Vous dites encore: « Voulez-vous que je développe et que je m'étende sur les lacunes de votre action syndicale qui, non contente de<br /> n'améliorer en rien les conditions de travail des catégories B et C, ou de se battre efficacement contre la diminution des effectifs,?  Ben oui,on veut bien avoir vos<br /> explications.<br /> <br /> <br /> Sachez toutefois que même si les limites de l’action syndical sont réels, nous faisons tout notre possible pour défendre les conditions de<br /> travail des personnels auprès de l’administration, des élus, actions reprises par la presse généralistes ou professionnelle. Notre efficacité est probablement proche du néant, mais vous mais vous<br /> allez nous donner un coup de main, n’est ce pas ?<br /> <br /> <br /> Enfin vous concluez : « Sachez pour finir que je milite au Parti communiste, et que je ne vous ai pas attendus pour savoir ce<br /> qu'étaient les Luttes, heureusement. »<br /> <br /> <br /> Bah, tant mieux pour vous, et même si on ne voit pas bien ce le Parti vient faire là dedans, mais dans les luttes justement vous n’y êtes guère<br /> en tout cas dans les bibliothèques semble t-il.<br /> <br /> <br /> Pourtant des actions il y en eu : A Duras en décembre à l’appel de la CGT et de la CFDT, et un AG en février à l’appel de tout les<br /> syndicats de la DAC. Vous n'y étiez pas, alors que le mot d'ordre était justement  " lesconditions de travail des catégories B et C<br /> (et A aussi), et de se battre efficacement contre la diminution des effectifs"  Une prochaine fois peut<br /> être ?<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
C
Pourquoi un syndicat a-t-il besoin de se valoriser par ce genre de basses et médiocres médisances ? Serait-ce une stratégie de désespoir ?<br /> Marielle a toute notre considération et l’humour, l’intelligence et la brièveté de ses billets mettaient sans en avoir l’air le doigt sur bien des problèmes que nous vivons tous quotidiennement<br /> dans nos bibliothèques.<br /> Bien cordialement<br /> Annie G. Responsable de la bibliothèque Place des Fêtes
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C
<br /> <br /> Bonjour, <br /> <br /> <br /> LA CGT vous remercie de lire son blog. Ce blog sert à informer les personnels de manière humoristique<br /> <br /> <br /> La CGT n’a jamais fait des attaques Ad Nominem. La CGT de dénonce pas des personnes, mais des méthodes, notamment l’analyse transactionnelle  (d'ailleurs personne n'est cité, il se trouve<br /> juste que  les gens sont identifiés du fait de leur pratiques)<br /> <br /> <br /> Pour bien accueillir les usagers, la CGT revendique des bonnes conditions de travail pour les personnels, notamment pour les cadres qui sont surchargés de travail et dont les primes ne sont pas à<br /> la hauteur des responsabilités exercées. Dommage qu'ils ne soient pas plus mobilisés pour défendrent les conditions de travail de leurs collègues<br /> <br /> <br /> La CGT revendique en outre, des personnels en nombre suffisants et  des outils informatiques performants.Là encore, il ne s’agit pas de vilipender la Direction informatique qui a subi elle<br /> aussi, des baisses drastiques de moyens et qui fait ce qu’elle peut, malgré une charge de travail écrasante.<br /> <br /> <br /> Nous espèrons que ces explications pourront vous éclairer<br /> <br /> <br /> <br />
S
Je partage les réactions exprimées par les collègues du réseau et tout particulièrement les propos de Sandrine H de la MMP.<br /> Toutes nos réactions soulignent le « dérapage » du syndicat-CGT et constituent un soutien sans faille à Marielle.<br /> <br /> Marie-Odile H-C<br /> Responsable de la bibliothèque Drouot
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T
Notre billet a fortement déplu à quelques responsables de bibliothèques parisiennes qui visiblement adorent l’analyse transactionnelle. Bah, tant mieux pour eux. Pas étonnant qu’après le réseau des<br /> bibliothèques parisiennes soient dans un si piteux état. A noter pour les initiés qu’une grande partie des protestataires ne jouissent pas d’une réputation flatteuse, notamment pour la bonne marche<br /> de leur établissement. Il y a eu d’abord une première réaction.<br /> <br /> Je souhaite réagir en toute cordialité à cette information syndicale qui attaque notre collègue « ex-inspectrice ».<br /> En novembre dernier, elle était comparée à une animatrice de réunion Tupperware, ce qui se voulait certainement ironique mais qui était surtout d’une méchanceté blessante.<br /> Maintenant ce sont les outils de l’analyse transactionnelle qui sont en cause. L’analyse transactionnelle n’est qu’une méthode favorisant la communication interpersonnelle et ne contredit en rien<br /> les compétences techniques et culturelles des bibliothécaires que nous souhaitons tous valoriser y compris avec des formations sur la qualité de l’accueil.<br /> <br /> Fabienne K. Responsable de la bibliothèque Clignancourt<br /> <br /> Après cette réaction envoyée (exclusivement) aux responsables d’établissements et à la chef du bureau des bibliothèques, d’autres ont développé leur suivisme tel des résistants de la 25ème heure.<br /> Il est vrai qu’ils se couchent depuis des années devant la politique municipale. Si ça trouve ils étaient favorables au retour d’Yves Alix.Le chien Lulu a beaucoup d'amis Florilèges :<br /> <br /> <br /> Je m'associe tout à fait aux remarques et protestations de mes collègues<br /> Soizik J. responsable de la bibliothèque Chaptal<br /> <br /> Je m'associe à mes collègues. Ce genre de tract stupide, méchant et diffamatoire n'a, pour moi, rien à voir avec le combat syndical.<br /> Christine F-CConservateur stagiaire. ENSSIB<br /> <br /> Je suis entièrement d’accord avec la réaction de Fabienne K<br /> Marie-Laure G Responsable bibliothèque Goutte d’Or<br /> <br /> Je partage entièrement votre avis. Merci pour toutes ces réactions. Florence C Responsable adjointe Médiathèque Hélène Berr<br /> <br /> Je m’associe aux réactions précédemment exprimées par mes collègues et dénonce ces « dérapages » tout en réaffirmant mon soutien à Marielle de Miribel.Isabelle K. Melville<br /> <br /> Je viens, du coup, de prendre connaissance de ce fameux mail syndical… sans surprise : stupide, méchant et sans intérêt.Comme souvent, malheureusement.Martine T Responsable de la bibliothèque<br /> Fessart<br /> <br /> Nous sommes tout à fait d’accord avec l’ensemble des réactions et trouvons cette stigmatisation, répétée dans plusieurs messages, inadmissible. Emmanuelle M et Marie-Christine G Responsable et<br /> adjointe de la bibliothèque Gutenberg<br /> <br /> En écho à mes deux collègues, je pense que la vocation des syndicats est de défendre les agents et non de les stigmatiser. On peut rire de tout mais pas au détriment de la dignité des individus.<br /> Christine P Responsable de la médiathèque Marguerite Duras<br /> <br /> Tous ceux qui ont fait appel à Marielle de Miribel n’ont eu qu’à se féliciter de son intervention, et de ses talents de médiateur pour dénouer des situations souvent bien difficiles. L’unanimité de<br /> la réaction de nombreux responsables d’établissements montre bien que ce n’est pas en s’en prenant aux personnes, comme on vient malheureusement de le voir à deux reprises, qu’on accroit sa<br /> crédibilité. Cette stratégie de dénigrement systématique ne sert pas l’image du syndicat en question.Gilles P. MMP<br /> <br /> Je m’associe aux réactions de mes collègues et affirme tout mon soutien à Marielle de Miribel.Cécile C conservateur bibliothèque Parmentier<br /> <br /> Je découvre vos mails et me joins à vous pour dénoncer ce lynchage absurde et immérité. Isabelle P. Bibliothèque Colette Vivier
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F
bonjour tout le monde..;<br /> <br /> Au sujet de l'Autorité...?, parlons-en de l'Autorité..!, est-ce que je remet en cause les "fondement meme.. de l'Autorité de la fonction publique..?, certainement pas.! NON.!;<br /> <br /> par contre je remet en cause, la manière dont certainesi l'"utilise"..?..; c'est complètement différent..?<br /> -Il y a t'ellement de choses à dire là dessus...<br /> <br /> Lawrence d'arabie
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